Par Jean-Marc Gancille, responsable de la communication et du développement de Globice
Parmi les ONG qui œuvrent pour la protection des mers et des océans, il y a la célèbre organisation Sea Shepherd, dirigée en France par Lamya Essemlali, également vice-présidente de la REV.
Une autre ONG, dans un autre registre, fait beaucoup pour la vie marine : Globice.
La moitié des quatre-vingt-dix espèces vivantes de cétacés se trouve aujourd’hui dans une situation préoccupante. Treize espèces sont en danger critique d’extinction. Beaucoup seront probablement déclarées éteintes dans les prochaines décennies.
Les activités humaines sont au cœur de la problématique : la pollution chimique et sonore, la perte d’habitat et de source d’alimentation, le changement climatique et les collisions avec les navires comptent parmi les principales menaces. Mais la principale d’entre elles demeure les prises accidentelles lors des opérations de pêche.
Créée en 2001, Globice est une ONG dédiée à la science et à la conservation des cétacés de La Réunion et de l’Océan indien. Association agréée « protection de l’environnement » depuis 2006 et membre de l’Union Internationale de Conservation de la Nature, elle mène de nombreux programmes de recherche et de sensibilisation.
Rédactrice et animatrice des plans directeurs de conservation des baleines à bosse et des dauphins côtiers de La Réunion, Globice agit globalement pour accélérer la prise de conscience de ces menaces qui pèsent sur ces mammifères marins emblématiques de notre relation au monde sauvage marin et sur la nécessité de les protéger.
Pour en savoir plus sur Globice : https://www.globice.org/